Haaa...., il y a des chansons qui marquent des générations entières, ce qui par moment, nous conduit à avoir des élans de nostalgie incontrôlés. Alors, on se prend a imaginer "le petit homme" en futal à pattes d'éléphants et en chemise à grand col, en train de chanter, un micro à la main, avec en arrière plan les Sarcauzettes se déhanchant torridement sur la musique, ce refrain qui ne nous quitte plus : "les vacances au soleil, c'est quelque chose qu'ils n'auront jamais, le travail c'est pareil, tralalala....". Magnifique les Sarcauzettes en string et en arrière plan, se tortillant telles des serpentins en plein vent. L'avantage de l'arrière plan, c'est que " le petit homme" parait du coup plus grand et dans le même temps, les Sarcauzettes ne lui font pas de l'ombre. En effet, il ne supporte pas qu'on lui fasse de l'ombre et c'est pour cette raison qu'il porte toujours des lunettes de soleil.
Mais revenons en à nos brebis, vu que hier ou avant hier, on s'est occupé de nos moutons. Je sais, tout ceci fait un peu élevage, mais n'est pas éleveur qui veut, surtout quand il s'agit d'élevage de sinistres. Là, on va se pencher précisément sur l'élevage des sinistres femelles qu'on appelle, les Sarcauzettes.
Au premier rang, on va trouver la sinistre des arquebusiers et de la karchérisation en tout genre, madame : Michelle HELLIUM-A-RIE. Avant, elle était au sinistère de la bataille (guerre) et de la "défonse", maintenant, elle est à l'intérieur. A l'intérieur de quoi me direz-vous ? Excellente question, je vous laisse la responsabilité de la réponse, selon votre propre appréciation. Elle est grande (ça c'est relativement mal vu auprès de sa majesté), mince, élancée, le visage dur voire austère. Pas étonnant, c'est une dame qui a toujours fait des boulots de mecs à savoir, la gestion de la guerre, de la circulation, des excès de vitesse, de la contravention et des coups de matraques. C'est la Calamity Jane du gouvernement(eur), la femme-homme par excellence. Même quand elle sourit elle fait la gueule, c'est pour vous dire. On aurait pu aisément l'appeler, la peau de vache-qui-rit sans la boucle d'oreille dans les narines. Enfin, on ne va pas en faire tout un fromage, même si c'est une parfaite brebis.
Au second rang, on trouve la sinistre du calcul des heures supplémentaires, la bien nommée : Christine LA-GARDE-RIE. Elle fait partie de la même famille que la précédente, c'est à dire, grande machin chose, élancée machin truc et le visage machin truc chouette. La différence c'est qu'elle ne pouvait pas faire un boulot de mec, alors ils lui ont dit : "voilà une calculatrice, tu te mets dans un coin et tu comptes (pour du beurre). Depuis elle compte et recompte, selon le décompte des jours qui passent. De temps à autre, elle nous annonce des chiffres sans réellement prendre en compte ce qui compte réellement pour nous (le beurre). Mais c'est une pugnace, elle s'accroche, elle s'est inspiré de l'adage : "la garde meurt mais ne se rend pas". Du reste, non seulement elle ne meurt pas, mais elle ne rend rien la bougresse, même pas nos heures sup. Tout compte fait, ce qui compte le plus, c'est que l'on puisse compter sur elle, même si le compte n'y est pas, et compte tenu des circonstances, le décompte des jours en forme de compte à rebours, nous rapproche doucement mais sûrement du bilan comptable de son mandat. Pour finir, si l'on peut dire que les bons comptes font les bons amis, je ne suis pas persuadé que vous l'inviterez à votre table au bout du compte.
Au rang suivant, on découvre, mais pas trop non plus, la star du gouvernement(eur), la sinistre du pèse personne ou de la balance et de la jet-set, la damoiselle : Rachid A-DITIF. C'est la starlette du troupeau sus nommé, la sarcauzézette. Elle a la charge ou la décharge (de chevrotine), de ramener l'ordre injuste et de restructurer le désordre justifié. Simple appréciation ou appréhension personnelle (la sienne) du mot justice pour tous, surtout la sienne. Après de multiples défilés de modes et réceptions en tous genres, accompagnée de sa majesté, et oui il sont très proche ces deux là !!! Lui, porte la couronne ; elle, le pantalon, et au vu des moues dubitatives des cons-vives concernant la qualité de ces même réceptions, elle a décidé de prendre le taureau par les heu..., par les heu..., par les cornes. Ouf, j'ai enfin trouvé le terme approprié, car faute de terme, le dérapage semblait inévitable pour le (bon) coup. Donc, elle a décidé d'agir vite en prenant des mesures drastiques, afin que cette situation intolérable ne persiste et que les moues de "ses amuses-gueules", enfin ses cons-vives de la jet-set, ne soient plus insatisfaites. Elle a de fait redistribué les cartes (d'invitations ou judiciaires comme vous le sentez) en restructurant illico les lieux de réceptions ainsi que les tribunaux. Du coup, comme son appétit est plus important que sa raison, elle a prévu de vider les tribunaux de leurs avocats, pour mieux agrémenter ses réceptions, avec des avocats (thon mayonnaise). Fallait y penser, d'autant que quand vous voulez être juste, il vous faut faire la bonne taille (vous n'avez qu'à demander à certains avocats de tribunaux, ils vous diront comment ils se sont fait tailler et à qu'elle sauce ils vont être mangés). En attendant, Madame la sinistre on vous souhaite un bon appétit et on vous remercie de votre con-préhension.
Tout au fond, on aperçoit à peine, la sinistre du savoir (pas faire) et de l'intelligence (artificielle), dame : Valérie PECH-RAISSE. Là, cela reste un mystère, car la fonction est complexe. En effet, la commande de travail est très stratégique et donc ambigu pour la sinistre. Le grand chef en fait lui demande, de distribuer du savoir et de l'intelligence tout en faisant en sorte que les petites gens, c'est à dire le peuple, ne devienne pas intelligent. On voit bien dans cette stratégie, toute la complexité de la tache à réaliser qui consiste à faire croire aux autres, ce que l'on croit qu'ils vont croire. Et quand on croit réellement ce que l'on croit croire, en fait on est cons-vaincus. Et là, le grand chef est convaincu que si il fait croire au peuple qu'il est intelligent, alors qu'il fait tout pour ne pas le rendre intelligent, ce même peuple continuera à lui faire gagner le concours du magicien chef. Après tout ça a bien marché une fois, pourquoi pas deux.
Devant et pour qu'on ne la rate pas, on ne peut que voir, la sinistre du loisir, du rhumatisme et de ce qui n'en ont pas, on l'appelle : Roselyne BACHE-LORETTE. C'est le morceau de bravoure de l'équipe. Elle s'occupe de l'organisme qui est sensé nous rembourser les onguents que l'on absorbe quand on est malade. Mais comme cet organisme est toujours en déficit, il ne nous rembourse presque plus rien. Pourtant la solution pour boucher le trou financier de cet organisme, est simple. En effet, c'est la sinistre de la situation car elle a la morphologie qui correspond à la taille du problème. Il lui suffit simplement de se jeter dans le trou pour qu'elle le bouche complètement, et de fuite il n'y aura plus. Pour le reste, de toute façon, elle y connaît que dalle, donc autant qu'elle serve à quelque chose, au prix ou on la paye.
Sur le devant de la scène aussi, on peut voir la sinistre de la toile de tente et du camping sans étoiles, madame : Re-Christine BOUT-EN-TRAIN. La comique du troupeau. Avec elle, il ne peut pas y avoir de valeur sans morale et de morale sans religion, tout un programme. C'est la bigote de service. A l'entendre, on doit faire des gosses sans user de la passion charnelle, c'est à dire par la pensée. Moi j'ai essayé, mais je n'y suis pas arrivé, alors j'ai fais comme la plupart d'entre nous, j'ai usé voir abusé de la passion et je n'ai pas à me plaindre du résultat. Par contre, je plains son mec, il doit être sourd à l'heure qu'il est, à moins qu'elle n'ait pas de mec, c'est possible vu le tableau. Et le logement dans tout ça me direz vous ? Et bien c'est simple, il n y en a pas assez. Donc elle prie pour qu'il y ait un miracle, afin que ceux qui n'ont pas de quoi se loger, puissent apprécier ces longues nuits à la belle étoile (du berger). En attendant, si il y en a qui vont de réceptions en réceptions, elle, elle va de vêpres en vêpres, implorant le ciel de sa clémence pour les nécessiteux. Toutes ces belles paroles, si ça ne les réchauffe pas, en tout cas ça les occupe et quand les nécessiteux sont occupés et qu'ils meurent de froid, au moins ils ne meurent pas de froid les mains dans les poches, ce qui est la moindre des choses. C'est une sinistre qui n'aime pas le désordre, et voir mourir de froid des gens dans de bonnes conditions, doit lui procurer une certaine satisfaction quand à son rôle au sein du gouvernement(eur), un sentiment du devoir accompli. C'est beau d'avoir, faute de sang, de nobles sentiments.
Et pour finir enfin, la petite dernière du groupe, la sinistre des troubadours et des ménestrels, mademoiselle : Re-Re-Re Christine ALBAGEL bien sur, la fraîcheur au frais. C'est la novice, celle qui débute, le renouveau, le petit coin de fraîcheur dans cette ambiance qui sent un peu la naphtaline et le réchauffé. Elle est en pleine formation. Elle apprend actuellement à faire du pipeau, pas avec BACHE-LORETTE non, quoique dans l'art de faire du pipeau elle a l'air assez douée, mais avec HALT-AU-FEU qui est plus doué dans le maniement et dans la manipulation des masses. N'est pas menteur qui veut, surtout quand on veut être crédible. Donc, comme on dit dans le milieu, si elle veut être habitée par la fonction, elle a tout intérêt à sortir bien couverte et bien choisir le costume qu'elle va se mettre. Ensuite et seulement après avoir fait ses preuves, elle pourra aller faire une petite séance de pipeau au grand chef, qui sera en n'en point douter, évaluer les progrès de sa petite dernière, en ce qui concerne l'art du pipeautage. On ne fait pas la musique, ni du cinéma, à un vieux singe plein de tics et de grimaces. Salut l'artiste et bon apprentissage de la politique, car en politique la première chose dont l'on doit savoir se servir, c'est la langue, outil indispensable dans tout les sens du terme.
C'est fini, j'espère que avez fait plus ample connaissance avec nos dirigeants, qui n'en doutons pas, s'efforceront de nous diriger ou de nous "digérer".