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Cynisme 8 sur l'échelle de Richter

2 octobre 2008

13# The Taxes Machine

Vous vous souvenez de James Brown, le célèbre chanteur noir américain qui a écrit dans les années 70 l'un des plus grands tubes musical de tout les temps. Mais si, faites un petit effort allons. Bon çà y est vous y êtes. Allez, je vous aide. Rappelez vous de cette chanson dans la quelle il parle de lui et dont le titre est : "the sex machine". 

Et bien le "petit homme" lui, même s'il n'écrit pas de chansons, est en train de se forger de part son oeuvre en tant que président ou roi, une solide réputation de machine. En effet, à défaut de sexe, il faut bien lui reconnaître un certain talent au niveau de la création de nouvelles taxes. Une taxe par ci, une taxe par là, c'est plus un président que l'on a, c'est un taxeur. Même dans son entourage plus ou moins proche, plutôt moins que plus du reste, certains s'autorisent, je dis bien s'autorisent, à l'appeler Monsieur une taxe par mois. Pour un mec qui disait qu'il allait redonner du pouvoir d'achat aux français, on ne peut pas dire aujourd'hui qu'il est sur le droit chemin. Pardon je rectifie, sur le bon chemin est beaucoup plus approprié car n'oublions pas que cet homme a les idées courbes, et qu'il ne peut de fait être droit.

Enfin avec cet amoncellement de taxes qu'il nous fait tomber dans l'escarcelle et qui nous vide les poches, le surnom le plus conforme à ce qu'il est au demeurant, serait plutôt : "the taxe machine". Cet un homme de grand talent affublé de petite jambes. Nous on aurait préféré qu'il est des jambes plus grandes et moins de talent, comme ça on aurait peut être eu des chances de moins payer de taxes !!!

Mais restons dans les courants musicaux. Je vais faire encore appel à votre mémoire une fois de plus, si vous le voulez bien. Dans les années 80, on a vu apparaître un couple de chanteurs au sourire engageant, et qui donnait l'impression de 2 adultes n'ayant pas fini leur crise d'adolescence. Ce couple s'appelait à l'époque : "Tenue de soirée". Ceux ci ont écrit et chanté une chanson qui est restée dans toute les mémoires et qui est devenue de surcroît un tube interplanétaire et dont le refrain donnait ceci :

            "Et tu chantes chantes chantes ce refrain qui me plait

             Et tu tapes tapes tapes c'est ta façon d'aimer

             Ce rythme qui t'entraine jusqu'au bout de la nuit

             Réveille en toi le tourbillon d'un vent de folie".

Cela vous parle ? Quelle profondeur au niveau du texte. Et bien vous en avez rêvé, le "petit homme l'a fait. Il a recomposé le couple avec son premier sinistre, François Fuyon, et a réécrit avec son aide ce tube indémodable, en réactualisant le texte. Pour le look, il n'y a pas eu trop de retouche à faire, vue la tronche de nos 2 élus, et au niveau du texte voilà ce que cela donne :

              "Et tu taxes taxes taxes ce français qui nous plait

              Et tu taxes taxes taxes c'est ta façon d'aimer

              Ce rythme qui t'entraine jusqu'au bout de la nuit

              Réveille en toi le tourbillon d'un vent de folie".

Avec ça, si ils ne sont pas disque d'or à la fin de l'année, c'est à ne rien y comprendre. Cela fait un an et demi que cela dure et vue que le peuple ne dit rien, il n'y a pas de raisons que cela ne perdure pas. Comme on dit, qui ne dit mot consent. Mais rassurez vous, il y a des amateurs de ce genre de refrains, qui n'hésiteront pas à le chanter, voir l'acheter. Et dire qu'il suffirait qu'on arrête de faire de la merde, pour que les gens arrêtent d'en acheter. Sur ce, je vous quitte, et je vous donne rendez-vous à la prochaine taxe.

Bye.....   

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30 juillet 2008

12# Si tu me quittes c'est moi qui m'en vais

Dans le monde de la politique de notre cher et beau pays, on peut dire sans langue de bois, qu'il y règne un doux parfum d'hypocrisie et de trahison, où les coups bas sont devenus l'activité ludique préférée de nos  magiciens en herbe. Comme on l'a vu précédemment, même le roi en personne en a fait un art de vivre et il ne se passe pas une journée sans qu'il assène un bon et franc coup bas, à un de ses adversaires ou à un de ses collaborateurs. Remarquez, pour lui et au vu de sa taille, il lui est quand même plus facile d'atteindre les parties génitales d'un concurrent, vu que la plupart du temps, il est a la bonne hauteur. Il faut dire que parfois, la nature fait bien les choses et du coup, on peut le dire sans ambages, que le "petit homme" excelle au moins dans un domaine, car pour le reste et ce pourquoi il a été élu, on repassera, à défaut que lui ne repasse pas. Quoique, peut être que certains dans le peuple affectionnent les coups dans les balloches et prennent un malin plaisir à se les faire remonter jusqu'aux amygdales. La preuve en a été faite, car ils n'auraient pas été aussi nombreux à le plébisciter et à l'installer sur son trône. A chacun ses plaisirs !!!!!

Et l'opposition dans tout ça me direz-vous ? Et bien c'est simple, elle se cherche. Du reste, nous aussi on la cherche encore. Mis a part la séparation entre Ségolaine, que l'on prénomme maintenant Ségol-haine depuis sa défaite aux élections, et François, que l'on continue à appeler François, il n'y a pas grand chose à dire de particulier si ce n'est quelques trahisons au sein de la confrérie des éléphants. Ha, les éléphants et leurs tronches de premiers de la classe, quel bonheur dans ce paysage sinistre du monde politique, où il règne une ambiance de franche rigolade et de camaraderie exacerbée. Ils passent plus de temps à s'envoyer des méchancetés, qu'à faire ce qu'ils doivent faire. En théorie, leur boulot c'est de s'élever contre toutes les injustices sociales dont le peuple est victime. Mais non, ils s'évertuent à perdre leur temps dans des luttes intestines complètement stériles, pendant que le "petit homme", lui, passe son temps à faire avaler des couleuvres à une bande de naïfs qui continue à faire confiance à un individu aussi franc qu'un tesson de verre.

Mais il y a pire encore. En effet, au sein même du troupeau des éléphants, on trouve des félons qui ont l'appétit aussi surdimensionné que leurs ambitions. Cela doit être pour cette raison que l'on dit qu'ils vont à la gamelle, afin d'assouvir leur boulimie au niveau du pouvoir. En définitive, ils ne valent pas mieux que celui qui les racole, si vous voyez ce que je veux dire. Mais faisons un peu le tour du troupeau par une petite revue d'effectif.

En premier lieu on trouve celui qui s'est permis le luxe de dire à Ségol-haine : "si tu te présente aux élections, c'est qui qui va garder les gosses !!!". L'auteur de cette remarquable réflexion n'est autre que Laurent FALLUS, le plus jeune premier sinistre de l'histoire de la république. On sent bien dans son propos, tout son désir, qu'il y est en politique ce que l'on nomme précisément dans les milieux autorisés, la parité homme-femme. Un vrai démocrate celui-là. Dire qu'il aurait pu devenir magicien chef à la place du "petit homme". Mais l'histoire n'en a pas voulue ainsi, et aujourd'hui, il passe plus de temps à faire de la moto qu'à oeuvrer pour le bien du peuple. Je vous le dit, nous avons à faire à des hommes de convictions.

En second, on retrouve l'ancien sinistre de la culture sous le règne de maître FRANCOIS, dit tonton, le vénérable Jak LECHE. Lui, il va où le vent souffle, surtout quand celui-ci souffle dans la direction de ses intérêts. C'est un mec qui va essayer de nous faire croire qu'il va défendre les gueux, tout en vivant comme un baron dans un château. On sent bien chez lui aussi, toute la sincérité dans ses convictions et dans son discours au cours des meetings et des plateaux télés. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant de le voir flirter aujourd'hui avec son ennemi d'hier, qui est le "petit homme". Et oui encore lui. Il aurait du être à l'époque sinistre de la félonie plutôt que de la culture. Mais bon, il n'y a pas de petit portefeuille et comme à bien mal acquis ne profite qu'à soit, lui il a laissé ses convictions au placard et a préféré le porte monnaie aux idées. Là aussi on a eu chaud, il aurait pu être à la place du roi. Pour l'heure, il continue à trahir ses pairs, et comme c'est ce qu'il sait faire le mieux, on ne devrait pas en pâtir.

Pour finir ce petit tour d'horizon, je vais terminer cette petit présentation par le plus doué de la bande : Dominique TROP-SCANNE. Le calculateur du groupe. Lui aussi aurait bien aimé avoir la place du chef, mais bon, il s'est fait devancer par son amie Ségol-haine au cour des primaires à gauche. Ha oui j'avais oublier de vous préciser que le "petit homme" était un homme de droite, même s'il n'est pas forcement droit. D'ailleurs, pour un homme de droite, je trouve qu'il a les idées courbes. Mais revenons à notre mathématicien de service. C'est un personnage qui avait l'avenir devant lui. Charmeur, beau parleur, uni à une superbe journaliste de télévision, il avait tout pour réussir. Une erreur de trajectoire suite à un mauvais calcul, a fait chuter ses ambitions et il a du de fait s'incliner face à une moins bonne calculatrice mais bien meilleure manipulatrice que lui. Comme quoi, il ne suffit pas de bien parler pour réussir, il faut également convaincre et lui n'a fait que parler parler parler au point ou on a fini par le surnommer "la cigale". Suite à cette défaite et au vue de son chagrin, le "petit homme" a senti là une bonne opportunité de le débaucher de son parti en le ralliant à sa cause, qui je le reprécise n'est pas la même. En deux temps et trois mouvements, ce fut fait comme le remplissage et l'encaissement d'un chèque bancaire, le bon Dominique fut nommé en poste de responsable au FMI (fond monétaire international). Depuis, son entourage qui s'est sensiblement réduit, a tendance à lui tourner le dos, sans pour autant se baisser, compte tenu du fait qu'il a fait alliance avec l'adversaire politique. On ne peut blâmer son entourage, d'autant qu'a force de chanter, la "cigale" du rendre visite à son nouvel ami le FMI, à qui il alla crier famine.

Moralité : quand les amis de tes ennemis deviennent tes amis, tes amis qui étaient les ennemis de tes nouveaux amis, deviendront assurément tes nouveaux ennemis pour mieux faire amis amis avec tes anciens ennemis.

Vive la France, vive la république, vive la politique, et surtout faites en sorte de toujours avoir des yeux derrière la tête afin de discerner les contre façons.

7 juillet 2008

11# Coucou me revoilou

Tout d'abord, je voudrais m'excuser auprès de mes fidèles lecteurs et lectrices de l'absence dont nous avons été tous victimes. Ne vous inquiétez pas je n'ai pas été victime d'un redressement "fliscal", mais plutôt d'une mise au repos forcé. En effet, j'ai voulu vérifier une des promesses de notre cher magicien chef, "le petit homme", "le travailler plus pour gagner plus". Hé bien, si cette année j'ai réussi à travailler plus, tout ce que j'ai réussi à gagner en plus c'est de me reposer plus. Complètement absurde me direz vous, complètement raison vous avez. A quoi peut bien servir de travailler plus, si c'est pour se reposer plus, alors qu'il suffit simplement de travailler normalement, pour se reposer normalement. Pourtant, j'en ai fait l'amère expérience et j'ai pu de fait, goûter aux joies de l'absurdité. Quel bonheur de pouvoir participer à la connerie collective et d'être pris une  fois de plus pour un abruti de service.

De par cette expérience, j'ai voulu me mettre dans la peau d'un des sympathisants du petit homme, qui a voulu croire l'incroyable et qui a du mal à s'asseoir maintenant. Il est vrai que depuis le mois de Mai d'une certaine année, j'ai de plus en plus de mal à m'asseoir normalement. Mais il est vrai aussi que tout les cinq ans, cette même douleur revient se fixer au même endroit, malgré les multiples onguents et promesses que tous les magiciens chefs qui se sont succédés, nous ont prédit et prescrit au cours de leurs campagnes électorales respectives. Que le petit homme se rassure, il n'est pas le seul et bien d'autre avant lui, nous ont pris pour des cons et il n'aura pas l'exclusivité, malgré son ego surdimensionné, du foutage de gueule et de l'omission caractérisée.

Je vous l'ai déjà dit, on a à faire à des professionnels de la promesse non tenue et du racolage en tout genre. Ils sont passés maîtres dans l'art de la politique de la carotte et s'exécutent aussi bien que l'ânier qui veut faire avancer son âne. Sauf que là, ils doivent faire avancer soixante cinq millions d'ânes et que le stock de carottes est bien évidement proportionnel au nombre de baudets à faire avancer. Vous comprendrez de fait, que la tache n'est pas aisée et que l'on ne s'improvise pas producteur de carottes, meneur d'ânes et illusionniste du jour au lendemain. Cela demande d'abord d'avoir une longue expérience d'âne et ensuite d'avoir un sentiment de culpabilité quasi inexistant. C'est le genre d'individu qui quand il vous serre la main, vous avez tout intérêt à recompter vos doigts. Ils ne sont pas voleurs les mecs mais bon, de là à leur faire confiance, il y a tout de même des limites à ne pas dépasser. Pourtant, on continu à leur offrir des mandats afin qu'ils nous mènent tel le berger qui amène son troupeau paître sur les estives. On sait à la fin qui c'est qui finit aux abattoirs.

Moralité dans tout çà me direz-vous ? Hé bien c'est simple. A la fin de l'histoire, il vaut mieux finir comme un âne et avoir une carotte en guise de récompense à se mettre sous la dent, plutôt que de finir comme un con à se bercer ou se faire bercer de ses propres illusions et avoir le ventre vide. Si nous on a la tête bien pleine, l'âne lui en tout cas, il a le ventre plein et comme on dit, ventre affamé n'a pas d'oreilles et ventre plein n'en a pas plus. Donc la seule différence qu'il y a entre un âne et nous, c'est simplement la longueur des oreilles car pour le reste, il n'y a pas grande différence, du reste nos chers magiciens (c'est vrai qu'ils sont chers) l'on bien compris.

Je suis de retour et nous allons pouvoir poursuivre ce qui a momentanément été interrompu, et continuer à médire sur la vie de nos magiciens, qu'ils soient chefs ou bien sous fifres. A ciao.

29 avril 2008

10# Rencontre d'un autre type

Heureux qui comme moi qui fis un long voyage, aux confins de mon village peuplé d'une centaine d'âmes, et dont la moyenne d'âge flirte dangereusement avec les 75 ans. Eprouvant fût celui-ci, tant la distance parcourue (1 km aller-retour) et les difficultés rencontrées, notamment dans les transports en communs, furent nombreuses. En effet, si la traversée du centre village fût d'un calme impressionnant, seul les ronflements de certaines personnes au moment de la sieste vinrent perturber ce silence de cathédrale. La traversée des quartiers populaires ne fût pas du même acabit. Il y régnait une ambiance aussi pesante que la somme des prélèvements des taxes et des impôts que nous avons à payer à chaque fin de mois.

Que ce soit dans le quartier nord, sud, est ou ouest, l'insécurité régnait à chaque coin de corps de fermes ou de maisons de maître (environs 3 par quartiers), d'où l'on pressentait dans notre dos, les grincements des tringles à rideaux et des portes, à chaque crissement de nos pas sur le gravier inégalement répandu. Le cliquetis des déambulateurs et le couinement des fauteuils roulants, faisant des aller-retour incessants et répétés à des heures inappropriées, et qui venaient de surcroît interrompre les ronflements et les siestes déjà bien avancées, ne faisaient qu'amplifier cette ambiance extrêmement tendue et insécurisante.

De plus, nous n'avons pu que constater avec effroi, les dégâts après une nuit d'émeute dans le quartier nord, où un bon nombre de pots de géraniums et de jardinières en tout genre avaient été vandalisées et incendiées. Il est vrai, que ce type d'incivilité nocturne (la nuit commence chez nous à 18 heure, même si, il fait encore jour et elle se finit à 5 heure, même si il fait encore nuit) est devenu monnaie courante, s'inscrivant peu à peu dans un rituel de plus en plus mal vécu par la population. Mettez-vous un peu à la place de la madame, qui au soleil levant (vers 5 heure du matin), se retrouve privée de son activité favorite, l'arrosage quotidien de ses plantes et fleurs amoureusement disposées et bichonnées sur chaque baies de fenêtres. Intolérable !!! Que vont-ils ou elles devenir et faire de leurs journées, si on les privent de leur seul petit plaisir, la sieste et l'arrosage des fleurs, si ce n'est ensuite aller faire chier les autres par simple ennui ou gratuité.

Non, cela ne peut plus durer, il va falloir remettre des arquebusiers de proximité, avant que la situation ne dégénère au point ou les coups de cannes et les coups d'aiguilles à tricoter, pleuvent tel des averses de pluie au moment de la mousson. Quel voyage me direz-vous ? Heureusement que celui-ci fût court et a été financé avec l'argent du contribuable, cet à dire le mien, car j'aurais eu pas mal de scrupules à être parti en voyage avec l'argent des autres, quoique... Mais je m'égare et revenons à la chaude actualité des ruptures en tout genre, mais pas en tout bien tout honneur.

Lui, il s'appelle François PLAT-PAYS ou l'autre pays du fromage, bon on va l'appeler François PAYS-BAS, comme ça tout le monde aura bien compris de qui on parle. Elle, s'appelle Ségolaine GELER-ROYALE, bon on va continuer à l'appeler comme ça, de toute façon c'est comme ça qu'elle s'appelle !!!

Ils sont tous les deux des opposants au régime en place, quoiqu'en y regardant de plus près, et au vu de la morphologie de François, on a du mal à croire que ce dernier s'oppose ou s'impose un régime quel qu'il soit.

Par contre, en ce qui concerne Ségolaine il n'en va pas de même. Elle est grande, mince, avec un sourire pincé et le buste bien droit. Elle nous rappelle étrangement Jeanne D'ARC, l'armure en moins. En l'observant un peu mieux, elle me fait plus penser à un cierge de Pâques que l'on allume au moment de la bénédiction du Pape, qu'à la pucelle d'Orléans en train de participer à "un barbecue géant". Ils vont former le couple politique dans sa plus grande splendeur et décadence, mais on va y revenir.

Mais faisons plus ample connaissance avec ce couple princier.

Ils sont tous les deux membres actifs de la même école de magicien la PSP (passe sans payer), que l'on a entr'aperçu précédemment, du reste ceux là, on ne fait que les entr'apercevoir tellement ils sont absents du débat, mis à part quelques félons qui participent copieusement aux débats gustatifs organisés par le "petit homme". Et oui, c'est ça l'ouverture, surtout celle de la gamelle et des estomacs. Veuillez m'excuser une nouvelle fois car je m'égare à nouveau.

Lui, François, il est le secrétaire général de la PSP. En fait, il est plus secrétaire que général car, si toutes les guerres avaient été encadrées par des généraux de la trempe de François, il n'y aurait pas eu autant de massacres durant toute l'histoire. Ce n'est ni un violent, ni un énergique. La preuve, quand il balance un obus (une réflexion), celui-ci arrive à la vitesse d'une paupière qui s'ouvre, après une lourde sieste sportive d'un retraité en plein effort. C'est pour vous dire à quel point, il est vif. Bon, il suffit ces médisances, lui au moins il est secrétaire, alors que d'autres ne valent pas plus que ce qu'ils font, c'est à dire, rien.

Elle, c'est une ancienne sinistre du siècle dernier et qui de part son statut d'ancienne sinistre, est rentrée dans le cercle très fermé de ceux que l'on surnomme, les éléphants. Pourtant, et au vu de son physique, on a bien du mal à se la représenter comme un éléphant, mais comme on dit chez nous : "attention car un éléphant ça trompe énormément". A par ça, pour un éléphant elle a quand même de beaux atouts, mais ce n'est quand même pas un bien gros exploit, vue la tronche des autres éléphants. D'ailleurs quand on regarde l'état dans lequel ils sont, cette école ressemble plus au cimetière des éléphants ou à un panier de crabes, qu'à une nurserie ou à une école maternelle. Mais comme on dit chez nous, un éléphant plus çà vieilli, plus çà a les dents longues, enfin l'ivoire, vous m'aurez compris. Et les dents, ils les ont longues les bougres, pour preuve, ils veulent tous devenir roi des magiciens. Le problème, c'est que Ségolaine a toujours voulu devenir roi des magiciens elle aussi. Alors, elle s'est rapprochée de plus en plus près de François, au point ou leur rencontre fut inévitable.   

Et le choc fût terrible. François avec son physique de pachyderme sur le retour, elle, en éléphante aux dents aussi longues qu'une paire de brochettes aux abats, il va de soit que cette rencontre ne pouvait qu'aboutir rapidement sur une union de poids. Quelques temps après et suite à de multiples péripéties mouvementées dans le concert politique, ils eurent quand même le temps de faire beaucoup d'éléphanteaux. Mais comme dans toutes les belles histoires, il y a un mais, et déjà on commençait à voir poindre à l'horizon, quelques tensions et tiraillements au sein de la grande ménagerie du cirque politique. Ne soyez pas inquiet et trop impatient, les feux de l'amour ne ce sont pas encore éteints, mais comme à chaque jour suffit sa peine, vous allez pouvoir repartir faire la sieste en attendant la suite du prochain épisode de notre feuilleton : "si tu me quitte, c'est moi qui m'en vais". BYE BYE.......   

22 avril 2008

9# Si tu t'en vas c'est moi qui te quitte...

Suite à de nouvelles pérégrinations dans d'autres royaumes, encore !!! me direz-vous, et oui "le petit homme" avait dit qu'il serait un roi près du peuple et de ses problèmes, le roi nous est revenu, oh pas pour longtemps, histoire de nous sortir de son chapeau quelques tours de magie, dont lui seul a le secret. L'occasion aussi pour lui de faire le point avec son premier sinistre, pour savoir si les..., pas les soucis du peuple, mais les sondages d'opinions lui sont favorables, car pour le reste il s'en fout royalement, normal pour un roi.

C'est le teint mat, le sourire bien blanc, avec sa montre en or massif attachée à son poignet et ses lunettes de soleil aux branchages en argent massif également, bien arrimées sur son appendice nasal, massif lui aussi, que le magicien chef a regagné ses pénates. Qu'elle ne fût pas sa surprise en rentrant dans sa modeste demeure, le château du roi, équipé de 45 chambres à coucher, de 22 salles de bains, enfin de plein de pièces indispensables pour jouer à cache-cache à temps perdu, quand il s'aperçu de l'absence de la reine "sait s'il y a" au sein du domicile conjugal. Inquiet pour son image, il alla quémander des informations auprès du délateur  de service Jean-François KAUPEZ-ELLE-EST-BONNE-ON-LA-GARDE, son conseiller fiscal et matrimonial. Ce dernier lui annonça que la reine était actuellement en voyage, décidemment c'est une maladie de famille, sur le continent où le soleil pique tellement la peau, que les peuples de ce continent, n'ont pas la même couleur de peau que nous. Il l'informa aussi que ce voyage avait pour but de négocier, avec l'argent du peuple bien entendu, la libération de quelques sages femmes Bulgares (pas des yaourts) détenues par ou pour le régime en place. Le roi fût heurté par la prise d'initiative personnelle de son épouse, d'autant que c'est lui qui décide, qui donne les ordres, qui dit aux autres ce qu'ils doivent faire en parfait démocrate, et qui ne tolère pas que les personnes qui l'entoure, puissent avoir leurs propres idées, même si elle sont bonnes.

C'est donc les traits tirés et le sourire aussi large qu'une poutre de gymnastique, que "le petit homme" accueillit la reine à sa descente de l'avion qui l'a ramené de son voyage d'affaires. Les bras entrouverts, il lui fit une grosse accolade et lui dit au passage : "tu ne devrais pas prendre, ma mie, d'initiative de ce genre, car tu vas finir par dilapider les deniers de l'état (des con-tribuables), et du coup, on ne pourra pas continuer à faire autant de voyages que par le passé, et on devra rester cloîtrer dans ce royaume, tel des gnous dans l'enclos de leur zoo".

A ces mots, la reine "sait s'il y a", ne supportant pas de finir comme un gnou femelle,  rétorqua à son époux : "puisque c'est comme ça, ce soir je te quitte car je ne veux pas être la reine des con-promis, et comme on dit, à con-promis choses dues et comme rien ne m'est du, je me casse". Et elle fit ce qu'elle dit.  Elle prit ses cliques sans prendre de claques, et retrouva dans le même temps sa liberté de pensée, comme Florent PAGNY le célèbre ménestrel.

"Le petit homme", suite à cette rupture, il nous l'avait bien dit qu'il serait le magicien de la rupture, vécu une très longue période (2 jours), de profonde tristesse. Suite à cela, il se mit en quête d'une nouvelle reine en parcourant les soirée mondaines, où toute la faune de la jet-set se pressait pour lui serrer la cuillère ou bien d'autres choses du reste. C'est au bout de cette très longue période (2 jours de plus), qu'il trouva chaussure à ses échasses et qu'il fit la connaissance d'une dénommée Karla.

Elle ressemblait tellement à la précédente, que l'on cru un instant à un nouveau tour de magie, dont lui seul avait le secret. La ressemblance était étonnante et on aurait pensé qu'il l'avait clonée avec son ex. Mais non c'était bien Karla, d'ailleurs on ne pouvait pas se méprendre, car à la place du sac à main elle portait une guitare, ce qui revient au même puisque dans les deux ustensiles on met des notes (salées).

A leur première rencontre, "le petit homme" se présenta à Karla et lui dit : "je me présente, je suis le roi Nicholas". Elle lui répondit : "je sais, c'est quelqu'un qui m'a dit, et moi c'est Karla". A ces propos, il lui rétorqua : "je sais, c'est quelqu'un qui m'a dit et comme c'est quelqu'un qui nous a dit, faisons comme si l'on ne nous avait rien dit." La discussion atteint un tel niveau intellectuel, qu'ils devinrent inséparables et décidèrent de se marier longtemps après (2 jours plus tard), alors que "le petit homme" venait de divorcer (1 jour plus tôt). Ce type n'est pas que magicien, c'est aussi SPEEDY-GONZALES, il fait tout à cent à l'heure.

Le mariage fut réussi. Il était petit et heuuu !!! petit, elle grande et heuuu !!! avec sa guitare, le couple très harmonieux quoi. Il avait invité plein de journalistes et de photographes, afin qu'il ne soit pas dit, qu'ils n'avaient rien dit et qu'on puisse dire après, que c'est quelqu'un qui nous a dit. Bon et bien voila (ou voici), ils sont mariés, maintenant c'est dit, et il ne leur reste plus qu'à partir en voyage de noces (et oui encore un voyage, décidemment). Au cours de la réception, le délateur de service vint voir le roi et lui demanda : "comment se porte Karla ? A ces mots le roi lui répondit : "oh Karla brunit". Inquiet de part la réponse, le délateur s'empressa de donner quelques bon conseils à son roi : "puisque Karla brunit, pense a l'arroser régulièrement et à la mettre à l'ombre pour ne pas qu'elle flétrisse". Fort de ces conseils le roi et la reine purent partir en voyage sereinement.

Mais à l'autre bout du royaume se jouait un autre drame, une autre rupture, une autre séparation. Celle-la, venait mettre à jour d'énormes tensions entre des membres de l'opposition au roi. Elle concernait le couple composé de : François PLAT-PAYS ou l'autre pays du fromage et de Ségolaine GELEE-ROYALE, tous deux membres de la psp (les passes sans payer), l'autre école de magiciens. Mais, on y reviendra la prochaine fois, car je dois partir en voyage à l'autre bout du village, accompagné de mes jambes et de mon courage, à ciao.............

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17 avril 2008

8# Le lundi au soleil, c'est quelque chose qu'on n'aura jamais...

Haaa...., il y a des chansons qui marquent des générations entières, ce qui par moment, nous conduit à avoir des élans de nostalgie incontrôlés. Alors, on se prend a imaginer "le petit homme" en futal à pattes d'éléphants et en chemise à grand col, en train de chanter, un micro à la main, avec en arrière plan les Sarcauzettes se déhanchant torridement sur la musique, ce refrain qui ne nous quitte plus : "les vacances au soleil, c'est quelque chose qu'ils n'auront jamais, le travail c'est pareil, tralalala....". Magnifique les Sarcauzettes en string et en arrière plan, se tortillant telles des serpentins en plein vent. L'avantage de l'arrière plan, c'est que " le petit homme" parait du coup plus grand et dans le même temps, les Sarcauzettes ne lui font pas de l'ombre. En effet, il ne supporte pas qu'on lui fasse de l'ombre et c'est pour cette raison qu'il porte toujours des lunettes de soleil.

Mais revenons en à nos brebis, vu que hier ou avant hier, on s'est occupé de nos moutons. Je sais, tout ceci fait un peu élevage, mais n'est pas éleveur qui veut, surtout quand il s'agit d'élevage de sinistres. Là, on va se pencher précisément sur l'élevage des sinistres femelles qu'on appelle, les Sarcauzettes.

Au premier rang, on va trouver la sinistre des arquebusiers et de la karchérisation en tout genre, madame : Michelle HELLIUM-A-RIE. Avant, elle était au sinistère de la bataille (guerre) et de la "défonse", maintenant, elle est à l'intérieur. A l'intérieur de quoi me direz-vous ? Excellente question, je vous laisse la responsabilité de la réponse, selon votre propre appréciation. Elle est grande (ça c'est relativement mal vu auprès de sa majesté), mince, élancée, le visage dur voire austère. Pas étonnant, c'est une dame qui a toujours fait des boulots de mecs à savoir, la gestion de la guerre, de la circulation, des excès de vitesse, de la contravention et des coups de matraques. C'est la Calamity Jane du gouvernement(eur), la femme-homme par excellence. Même quand elle sourit elle fait la gueule, c'est pour vous dire. On aurait pu aisément l'appeler, la peau de vache-qui-rit sans la boucle d'oreille dans les narines. Enfin, on ne va pas en faire tout un fromage, même si c'est une parfaite brebis.

Au second rang, on trouve la sinistre du calcul des heures supplémentaires, la bien nommée : Christine LA-GARDE-RIE. Elle fait partie de la même famille que la précédente, c'est à dire, grande machin chose, élancée machin truc et le visage machin truc chouette. La différence c'est qu'elle ne pouvait pas faire un boulot de mec, alors ils lui ont dit : "voilà une calculatrice, tu te mets dans un coin et tu comptes (pour du beurre). Depuis elle compte et recompte, selon le décompte des jours qui passent. De temps à autre, elle nous annonce des chiffres sans réellement prendre en compte ce qui compte réellement pour nous (le beurre). Mais c'est une pugnace, elle s'accroche, elle s'est inspiré de l'adage : "la garde meurt mais ne se rend pas". Du reste, non seulement elle ne meurt pas, mais elle ne rend rien la bougresse, même pas nos heures sup. Tout compte fait, ce qui compte le plus, c'est que l'on puisse compter sur elle, même si le compte n'y est pas, et compte tenu des circonstances, le décompte des jours en forme de compte à rebours, nous rapproche doucement mais sûrement du bilan comptable de son mandat. Pour finir, si l'on peut dire que les bons comptes font les bons amis, je ne suis pas persuadé que vous l'inviterez à votre table au bout du compte.

Au rang suivant, on découvre, mais pas trop non plus, la star du gouvernement(eur), la sinistre du pèse personne ou de la balance et de la jet-set, la damoiselle : Rachid A-DITIF. C'est la starlette du troupeau sus nommé, la sarcauzézette. Elle a la charge ou la décharge (de chevrotine), de ramener l'ordre injuste et de restructurer le désordre justifié. Simple appréciation ou appréhension personnelle (la sienne) du mot justice pour tous, surtout la sienne. Après de multiples défilés de modes et réceptions en tous genres, accompagnée de sa majesté, et oui il sont très proche ces deux là !!! Lui, porte la couronne ; elle, le pantalon, et au vu des moues dubitatives des cons-vives concernant la qualité de ces même réceptions, elle a décidé de prendre le taureau par les heu..., par les heu..., par les cornes. Ouf, j'ai enfin trouvé le terme approprié, car faute de terme, le dérapage semblait inévitable pour le (bon) coup. Donc, elle a décidé d'agir vite en prenant des mesures drastiques, afin que cette situation intolérable ne persiste et que les moues de "ses amuses-gueules", enfin ses cons-vives de la jet-set, ne soient plus insatisfaites. Elle a de fait redistribué les cartes (d'invitations ou judiciaires comme vous le sentez) en restructurant illico les lieux de réceptions ainsi que les tribunaux. Du coup, comme son appétit est plus important que sa raison, elle a prévu de vider les tribunaux de leurs avocats, pour mieux agrémenter ses réceptions, avec des avocats (thon mayonnaise). Fallait y penser, d'autant que quand vous voulez être juste, il vous faut faire la bonne taille (vous n'avez qu'à demander à certains avocats de tribunaux, ils vous diront comment ils se sont fait tailler et à qu'elle sauce ils vont être mangés). En attendant, Madame la sinistre on vous souhaite un bon appétit et on vous remercie de votre con-préhension.

Tout au fond, on aperçoit à peine, la sinistre du savoir (pas faire) et de l'intelligence (artificielle), dame : Valérie PECH-RAISSE. Là, cela reste un mystère, car la fonction est complexe. En effet, la commande de travail est très stratégique et donc ambigu pour la sinistre. Le grand chef en fait lui demande, de distribuer du savoir et de l'intelligence tout en faisant en sorte que les petites gens, c'est à dire le peuple, ne devienne pas intelligent. On voit bien dans cette stratégie, toute la complexité de la tache à réaliser qui consiste à faire croire aux autres, ce que l'on croit qu'ils vont croire. Et quand on croit réellement ce que l'on croit croire, en fait on est cons-vaincus. Et là, le grand chef est convaincu que si il fait croire au peuple qu'il est intelligent, alors qu'il fait tout pour ne pas le rendre intelligent, ce même peuple continuera à lui faire gagner le concours du magicien chef. Après tout ça a bien marché une fois, pourquoi pas deux.

Devant et pour qu'on ne la rate pas, on ne peut que voir, la sinistre du loisir, du rhumatisme et de ce qui n'en ont pas, on l'appelle : Roselyne BACHE-LORETTE. C'est le morceau de bravoure de l'équipe. Elle s'occupe de l'organisme qui est sensé nous rembourser les onguents que l'on absorbe quand on est malade. Mais comme cet organisme est toujours en déficit, il ne nous rembourse presque plus rien. Pourtant la solution pour boucher le trou financier de cet organisme, est simple. En effet, c'est la sinistre de la situation car elle a la morphologie qui correspond à la taille du problème. Il lui suffit simplement de se jeter dans le trou pour qu'elle le bouche complètement, et de fuite il n'y aura plus. Pour le reste, de toute façon, elle y connaît que dalle, donc autant qu'elle serve à quelque chose, au prix ou on la paye.

Sur le devant de la scène aussi, on peut voir la sinistre de la toile de tente et du camping sans étoiles, madame : Re-Christine BOUT-EN-TRAIN. La comique du troupeau. Avec elle, il ne peut pas y avoir de valeur sans morale et de morale sans religion, tout un programme. C'est la bigote de service. A l'entendre, on doit faire des gosses sans user de la passion charnelle, c'est à dire par la pensée. Moi j'ai essayé, mais je n'y suis pas arrivé, alors j'ai fais comme la plupart d'entre nous, j'ai usé voir abusé de la passion et je n'ai pas à me plaindre du résultat. Par contre, je plains son mec, il doit être sourd à l'heure qu'il est, à moins qu'elle n'ait pas de mec, c'est possible vu le tableau. Et le logement dans tout ça me direz vous ? Et bien c'est simple, il n y en a pas assez. Donc elle prie pour qu'il y ait un miracle, afin que ceux qui n'ont pas de quoi se loger, puissent apprécier ces longues nuits à la belle étoile (du berger). En attendant, si il y en a qui vont de réceptions en réceptions, elle, elle va de vêpres en vêpres, implorant le ciel de sa clémence pour les nécessiteux. Toutes ces belles paroles, si ça ne les réchauffe pas, en tout cas ça les occupe et quand les nécessiteux sont occupés et qu'ils meurent de froid, au moins ils ne meurent pas de froid les mains dans les poches, ce qui est la moindre des choses. C'est une sinistre qui n'aime pas le désordre, et voir mourir de froid des gens dans de bonnes conditions, doit lui procurer une  certaine satisfaction quand à son rôle au sein du gouvernement(eur), un sentiment du devoir accompli. C'est beau d'avoir, faute de sang, de nobles sentiments.

Et pour finir enfin, la petite dernière du groupe, la sinistre des troubadours et des ménestrels, mademoiselle : Re-Re-Re Christine ALBAGEL bien sur, la fraîcheur au frais. C'est la novice, celle qui débute, le renouveau, le petit coin de fraîcheur dans cette ambiance qui sent un peu la naphtaline et le réchauffé. Elle est en pleine formation. Elle apprend actuellement à faire du pipeau, pas avec BACHE-LORETTE non, quoique dans l'art de faire du pipeau elle a l'air assez douée, mais avec HALT-AU-FEU qui est plus doué dans le maniement et dans la manipulation des masses. N'est pas menteur qui veut, surtout quand on veut être crédible. Donc, comme on dit dans le milieu, si elle veut être habitée par la fonction, elle a tout intérêt à sortir bien couverte et bien choisir le costume qu'elle va se mettre. Ensuite et seulement après avoir fait ses preuves, elle pourra aller faire une petite séance de pipeau au grand chef, qui sera en n'en point douter, évaluer les progrès de sa petite dernière, en ce qui concerne l'art du pipeautage. On ne fait pas la musique, ni du cinéma, à un vieux singe plein de tics et de grimaces. Salut l'artiste et bon apprentissage de la politique, car en politique la première chose dont l'on doit savoir se servir, c'est la langue, outil indispensable dans tout les sens du terme.

C'est fini, j'espère que avez fait plus ample connaissance avec nos dirigeants, qui n'en doutons pas, s'efforceront de nous diriger ou de nous "digérer". 

14 avril 2008

7# Bienvenue chez les "shti-nistres"

Enfin on y est arrivé, l'équipe de sinistres est constituée. Elle est composée de 15 gens sinistres, 8 magiciens et 7 magiciennes, parité oblige. Quoiqu'en y regardant de plus près, pour qu'il y ai parité, il doit y avoir un magicien qui doit être magicienne également, car parité il n'y aurait pas. Je vous laisserai le soin de trouver lequel d'entre eux est à voile et à vapeur, une fois que j'aurai passé au trombinoscope, chaque membre qui compose le conseil des sinistres. Ne vous inquiétez pas, le trombinoscope n'est pas un examen médical et même si on doit y regarder de plus près, on ne va pas être obligé de mettre le nez dans des endroits que l'on pourrait juger nauséabonds.

Ah, j'oubliais, on a aussi les valets, enfin les secrétaires d'état. Bon alors eux, ils sont nombreux. A chaque renouvellement "sinistèriel", ils se multiplient comme les lapins après chaque saison des amours. Ils devraient éviter de renouveler le sinistère au printemps, car au rythme où va la reproduction, les caisses du royaume seront rapidement vides et le bon temps des réceptions entre dignitaires de haut rang, sera révolu. Non les sinistres ne vous inquiétez pas, je déconne, vous n'allez pas être obligé de bouffer des sandwichs jambon beurre tout de suite, faites confiance aux con-tribuables.

Maintenant que l'on a fait le tour de la question, revenons en au trombinoscope qui va passer au crible les membres du gouvernemen(teur). On commencera d'abord par le chef et ensuite on fera le reste. Ah j'allais encore oublier, aujourd'hui on va s'occuper des mâles et demain on s'occupera des femelles. Et oui ce sont deux espèces différentes et on ne mélange jamais les torchons avec les serviettes. A savoir que les mâles on les appelle les "Sarcaustiques" et les femelles les "Sarcauzettes". Donc aujourd'hui, on fait les "Sarcaustiques".

Le premier sinistre est : François FUYON. C'est le grand chef de la tribu ou de l'attribut c'est comme vous voulez. Il dirige, il décide, il oriente, il fait tout quoi !!! Il a d'énormes responsabilités, y'a qu'à voir les valises qu'il a sous les yeux. En plus ce mec c'est une véritable pointure dans l'art de communiquer. En effet, c'est le genre d'individu qui va dire au peuple que les caisses sont vides tout en tenant de sa main droite un toast de caviar et de sa main gauche un verre de champagne. C'est le chef du gouvernemen(teur).

Ensuite on trouve le sinistre de l'air qui sent bon et de la pelouse, qui se nomme : Jean-Louis BORD-L'EAU. Un pro des réceptions et de l'apéro. C'est le sinistre qui aime prendre l'air (de face), y'a qu'à voir sa coupe de cheveux et la tenue de son costar qui est toujours froissé. Si il n'était pas sinistre, on croirait qu'il est normal.

Maintenant on retrouve le sinistre des affaires "lève tard", que l'on appelle : Bernard COUCHE-NERF. C'est le toubib de service. Quand le monde est malade, c'est lui qu'on appelle. Il prescrit à grands coups de morale des remèdes pour ceux qui ont faim. Si ça ne leur rempli pas l'estomac, en tout cas, ça les occupes. Avant il était à gauche, maintenant il est à droite, ou bien au milieu, enfin on sait plus. C'est un type qui quand il vous reçoit parce que vous avez quelque chose, il vous débarrasse de tout ce que vous avez, cet à dire 23 euros (le prix d'une consultation).

Là, on s'attaque à un morceau (pas de bravoure) qui est le sinistre du problème "lève tard" et des voyages en avion gratuits, qui est : Brice HALTE AU FEUX. Celui-là, il veut ramener tout le monde à son domicile, même ce qui n'en n'ont pas de domicile. En plus il veut faire des prises de sang à ceux qui ne savent pas où ils habitent. Il fait dans le transport humanitaire gratuit. Vue les compétences et le nom du mec, on aurait dû lui donner plutôt, le sinistère de la flamme olympique. Attention, avec lui, il vaut mieux être en règle et être dans ses petits papiers (d'identité).

On continue avec le sinistre de la terre qui colle aux bottes en caoutchouc, qui est : Michel BAR-NIAIS. Belle allure, toujours propre sur lui, sourire éclatant, haleine fraîche, la voix douce, un discours mondain, la classe ; l'homme qui a le profil du poste, une vraie tronche de premier de la classe. Quitte à froisser ses dé-tracteurs, dont je tairais la marque, je trouve qu'il colle aussi bien, que la terre aux bottes en caoutchouc. Ce type, c'est les quatre saisons de Vivaldi. En effet, il est grand comme une asperge (légume d'hiver) ; quand il cause, il se fait la cerise (fruit du printemps) ; au moment des vacances il a la pêche (fruit d'été) ; et à chaque fin de mois, il vendange (moisson d'automne), y'a qu'à voir son portefeuille. Non vraiment, c'est le maraîcher de France, une vraie distinction à lui tout seul. Il est aussi raide qu'un piquet d'acacia, qui sert de tuteur à un plant de tomate en pleine croissance.

Ah, on arrive au sinistre du travailler plus pour gagner plus, qui se nomme : Xavier BETE-RARE. Il est unique dans son genre. C'est le genre de mec, qui avec son regard de chien battu, va vous faire croire que vous allez gagner plus en bossant plus. Comme on ne le croit pas, mais qu'il nous regarde avec ses yeux mouillons et bien on prend pitié et on le laisse dire pour ne pas le rendre tout triste. Bientôt, il va avoir la lourde charge d'annoncer au peuple, que dorénavant la durée légale du temps de travail va obliger les gens à bosser à mi-temps, c'est à dire, 12 heures par jours. C'est lui qui est chargé de remettre le royaume au travail. Pour le coup, c'est lui qui va avoir du boulot, faute d'en trouver aux autres. Bon courage Xav... on est de tout coeur avec toi, surtout que c'est toi qui va expérimenter le travail à mi-temps. Vue sa tête, on sent bien qu'il est con-vaincu d'avance.

Haaa, on s'attaque au pachyderme (le mammouth), le sinistère du coup de baguette sur les doigts à chaque faute d'orthographe, qui est géré par le bien nommé : Re-Xavier DARGOSSE. Quand on parle de pachyderme, lui c'est du lourd. Il est originaire d'une lointaine contrée située dans le sud-ouest du royaume, dont la capitale est Bergerac. Mais attention, il ne faut pas le confondre avec le héros local qui est Cyrano de Bergerac, lui c'est plutôt, six cageots de merde en vrac. Pour en revenir à son passe temps favori, il est chargé par "le petit homme" de remettre les enfants du royaume dans le droit chemin, parce que quand les enfants ne sont pas sur le bon chemin, on dit qu'ils font l'école buissonnière. Donc ils en ont fait la priorité des priorités, et pour se faire, ils ont décidé de supprimer onze mille emplois de correcteurs de fautes d'orthographe. Bien vue, ça c'est de la gestion, les enfants vont pouvoir s'auto évaluer faute de correcteurs et ils seront de fait, plus rapidement autonomes. L'enfant est au coeur du système et le correcteur au chômage. Mais qui va s'occuper des gosses me direz vous ? Et bien, ceux qui restent, c'est quand même pas compliqué. Réfléchissez un peu. Stop, vous avez eu assez de temps. Pour pouvoir donner plus de travail à ceux qui travaillent déjà, et bien c'est simple, vous en mettez onze mille au chômage et le tour est joué. Bravo, fallait y penser et vive la pensée unique.

Tiens voilà le symbole de l'ouverture, le sinistre de la bataille et de la "défonse" qui s'appelle : Hervé MAUX-REIN. Si au printemps on entend  le bruit du frelon dans la glycine, de lui on pourrait dire qu'au printemps au moment des élections, quand il arrive, on entend le bruit du félon. Demandez à François BAYOU, le magicien chef de la troisième école de magiciens qui est l'école du milieu, celle de ceux qui sont ni pour ni contre bien au contraire. Lui il sait pourquoi aujourd'hui il souffre de maux de reins. Amis de la trahison bonjour, vous avez un sinistre qui vous représente.

Pour finir enfin, on va se préoccuper du sinistre de la comptabilité et de ceux qui sont payés à rien foutre, selon "le petit homme", le mal nommé : Eric BEURK. Le comptable de la bande. Quoi dire sur lui, sinon que du mal. En fait, il est chargé de nous faire gagner plus quand on bosse plus. Quand on lui demande, mais où est l'argent qu'on nous doit, il nous répond toujours : "Les caisses sont vides, mais j'ai les poches pleines d'idées, alors soyez patient, occupez-vous de remplir les caisses, je m'occupe des idées". Voilà, ce mec le jour où il n'a plus d'essence, il remplira le réservoir de sa bagnole avec des idées. Et oui quand on n'a pas de pétrole, il vaut mieux avoir des idées et lui, il n'en manque pas de pétrole.

Je sais, ce fût un peu long et je m'en excuse, mais bon le trombinoscope ce n'est pas rien, surtout quand on s'occupe d'individus de ce calibre. Il y aurait tant à dire sur les uns et les autres, et puis si cela ne vous va pas vous n'avez qu'à vous en prendre au petit homme, c'est quand même lui le responsable de tout ce beau monde.

Salut et à la prochaine, pour un trombinoscope très féminisé qui concerne les "sarcauzettes", rien que le nom m'amuse !!! 

12 avril 2008

6# L'été sera chaud, l'été sera chaud, dans les...

Après un petit mois d'investiture émaillée de croisières et de libations éreintantes, "le petit homme" dût fabriquer un gouvernement, afin de soulager sa masse de travail et de l'aider à tenir ses promesses. Pour ce faire, il consulta les magiciens de sa promotion, afin de détecter le candidat idéal qui deviendrait de surcroît, son second. Après moultes hésitations, il trouva enfin le sbire de la situation qu'il nomma avec empressement au titre de premier sinistre.

Le rôle du "premier sinistre", consiste à gérer une équipe de sinistres chargée de mettre en place les réformes nécessaires, pour tenir les promesses du magicien chef précédemment évoquées. Cette équipe est également là pour réparer les conneries que "le petit homme" a pu faire ou déclarer, au cours de joutes oratoires. Et oui "le petit homme" est un instinctif, et parfois il s'emporte en croyant réellement dire ce qu'il pense, mais comme bien souvent il dit avant de penser, on est en droit de penser sans forcément le dire (même les murs ont des oreilles) que par moment il dit des conneries. Donc, il n'est pas difficile de voir, que la tache (au sens propre et au figuré) n'est pas chose facile à gérer  pour ces apprentis magiciens devenus sinistres.

Pour pouvoir organiser le travail d'équipe, le premier sinistre que l'on appelle "François Fuyon", a décidé de réunir son équipe tous les mercredis matin, sauf les mercredis libérés, afin de faire le point sur la semaine précédemment écoulée. On retrouve au cours de cette réunion tous les sinistres, accompagnés de leurs valets communément appelés "secrétaires d'état" parce qu'ils, heu... je sais pas ce qu'ils foutent là ces gens du reste, afin de trouver la meilleure stratégie pour pouvoir répondre au plus près, à l'objectif essentiel que le gouvernement s'est fixé : "quand on avance le peuple recule, comment veux tu, comment veux tu, qu'on l'en... qu'on l'en.. heu.. qu'on l'enrichisse. Oups c'est passé près ce coup-ci.

Ces réunions hebdomadaires donc, commencent toujours par un tour de table, même s'il y en a qui font des tours de cons, et se finissent comme elles ont commencées, tours de cons inclus. Le premier sinistre commande, les autres s'exécutent et quand ils ne sont pas d'accord entre eux, ils refont un tour de table ou de cons, afin de ne plus tourner en rond. Difficile de tourner en rond quand on a une table carrée ou rectangulaire, c'est pour çà qu'ils organisent à chaque début de réunion, une table ronde pour éviter de s'enfoncer les angles saillants de la table dans les côtes.

C'est quand même rassurant d'être gouverné par des individus qui ont même pensé à la bonne tournure de leurs réunions. Maintenant de là à dire que les sinistres sont des gens sensé avoir le sens de la sensibilité, il y a un pas que je n'oserais franchir même dans le bon sens.

Je vous dis à la prochaine réunion et arrêtons de tourner en rond si on ne veut pas désarrondir nos fins de mois, bye bye bye.

10 avril 2008

5# Les jolies colonies de vacances

A son retour de vacances organisées par l'agence de voyage "la croisière s'amuse pendant que les autres transpirent", le petit homme avait l'air tout triste. En effet, il ne supportait plus de voir autour de lui des gens souffrir. Le faciès grimaçant de personnes de sa cour, se tordant de douleur en dégustant du caviar ou bien en sirotant du champagne trop gazeux, lui renvoyait cette triste réalité que la souffrance n'était pas une illusion mais bien un fléau qu'il lui faudrait éradiquer. Pour ce faire, il décida de prendre le problème à bras le corps, ce qui ne fût point facile au vue de la petitesse de ses membres supérieurs. Il s'exprima alors devant ses cons-disciples en leurs disant : " je serais le magicien de la France qui souffre", et il s'exécuta.

Fort de ce discours, il prit quelques mesures qui s'imposèrent. Tout d'abord, il baissa l'impôt sur les grosses fortunes. Ensuite, il veilla à ce que le caviar ne soit point trop salé et que le champagne, fût moins piquant. Pour finir et au vue du préjudice commis, il décida d'un commun accord avec lui même, d'augmenter son salaire de 150 %. Ces mesures furent accueillies avec l'approbation de ses pairs et dans une liesse populaire incommensurable. De part la mise en place de ces mesures, il venait de tenir une des promesses faite à sa cour et il venait par là même justifier tout le bien fondé de sa démarche auprés de ceux qui souffraient horriblement du manque de goût et de tenue de ses réceptions. L'homme est de paroles et d'actions pour les uns et l'homme est de paroles et de paroles pour les autres.

Le peuple d'en bas accueilli tièdeusement ces mesures et manifesta sa désapprobation en défilant sur les boulevards de certaines bourgades du royaume. Au vue de la grogne générale, "le petit homme" tint à rassurer tout le monde. Il exprima sa solidarité avec ceux qui n'avaient que les yeux pour pleurer et leur fit la promesse, qu'il distribuerait des mouchoirs en papier à tout ceux qui en auraient besoin. Il promit aussi de ne pas jeter les restes (de caviar) et qu'il les reverserait aux plus nécessiteux. Mais de restes, il n'y en eut point et la grogne persista. En effet, les individus de son rang que l'on appelle les "barons" avaient un gros appétit et n'étaient pas disposés à partager et encore moins à laisser des miettes aux serfs, qu'ils exploitaient tout au long de la sainte journée.

Le peuple des "lèves-tôt" fit entendre sa voix et ce fût en toute démocratie que "le petit homme" décida une nouvelle fois d'augmenter ses effectifs d'arquebusiers, pour faire taire ces plaintes à grands coups de baguettes (pas de pains malheureusement). Quand l'ordre (pas juste celui-là) fut rétabli, notre magicien en chef prit la sage décision d'aller à la rencontre de son peuple afin de l'écouter et de le rassurer à grands coups de promesses, ce qui fait quand même moins mal que les coups de baguettes, quoique.

Ceci dit, le point commun qu'il y a entre les coups de baguettes et les promesses non tenues, tient bien dans le fait que le lendemain, on a beaucoup de mal à s'asseoir, si vous voyez ce que je veux dire. Si vous ne voyez pas, je vous conseille de trouver un bon opticien ou bien une paire de jumelles.

Mais revenons à notre magicien qui alla de fait, se promener dans son royaume pour faire connaissance avec ses électeurs. Le peuple l'accueillit en agitant ses chaînes et lui fit une haie d'honneur (faute de bras) en reprenant en coeur une chanson populaire qui s'appelle : "parole parole parole, écoute moi". Le petit homme repartit dans son château moins triste qu'au début de l'histoire et se promit de faire des promesses qu'il se promettrait de ne pas compromettre (comme d'habitude).

En conclusion et moralité, "le petit homme" su retenir la leçon de cette expérience et se promit de faire en sorte que dorénavant, les riches auraient de la nourriture et les pauvres de l'appétit. Après tout c'est toujours mieux que rien et rien c'est toujours plus que pas du tout, alors de quoi ils vont se plaindre ces "lèves-tôt". 

La suite à la prochaine promesse non tenue, bye bye. 

6 avril 2008

4# Amour, gloire et fausseté

Amour, parce-que "le petit homme" s'aimait tellement qu'il en arrivait à ne plus aimer les autres, surtout son épouse, la reine "sait s'il y a". Il passait la moitié de son temps à se contempler devant son miroir en lui posant toujours la même question : "miroir mon bon miroir, suis-je toujours le plus beau ; le plus intelligent ; le plus grand du royaume ?" Le miroir lui répondit : "oh mon bon maître, tu es toujours le plus beau, quoique ; le plus intelligent, quoique ; par contre pour ce qui est du plus grand et au vue de la longueur de tes membres inférieurs, tu devras te procurer l'adresse d'un bon podologue ou de bonnes échasses.   

Gloire, pour la bonne et simple raison que "le petit homme" adore tellement le pouvoir, que la gloire que celui-ci lui rapporte, active son égocentrisme au point qu'il en devient aveuglément imbus(vable) de sa personne. Mais il faut le comprendre, pour lui la gloire est devenu une obsession, car qui dit gloire, dit accession au plus haut sommet du royaume et au vue de sa morphologie, l'ascension vers le sommet lui a demandé de faire beaucoup plus d'efforts qu'une personne mesurant 1m90. Observez ses déplacements et vous constaterez qu'il doit effectuer plus de pas que les autres. Donc, la gloire il la désirait ; maintenant il l'a et il faudra éviter de le prendre de haut car si cela est le cas il vous répondra : "casse toi pauvre con".    

Fausseté, car "le petit homme" à force de vouloir être, ne fait que paraître et ne faire que paraître ne lui permet pas d'être. D'ailleurs, on en arrive à ne plus savoir à qui on a à faire, vue qu'il n'apparaît que dans le paraître et qu'on ne le voit jamais dans ce qu'il devrait être, lui-même. N'est pas magicien en chef qui veut.

Moralité, si on veut le pouvoir, il ne faut pas hésiter à user de fausseté afin d'être aimé pour en récolter la gloire.

   

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